Entre dans ces bras à nouveau et laisse toi aller. Le rythme de ce c½ur tremblant bat comme un tambour.
Il bat pour vous il saigne pour vous, il sait pas comment il sonne, car c'est le tambour des tambours, c'est la chanson des chansons.
Une fois, j'avais la rose, la plus rare qui ai jamais daigné fleurir. L'hiver cruel refroidi le baume et ma volé ma fleur trop tôt.
O solitude, O le désespoir, à la fin des temps je chercherai, pour cela dans tous le monde car aucun amour n'est plus grand que le miens.
Amour, tombe toujours la pluie, toujours tombe la nuit, soyez mienne pour toujours... laissez-moi être le seul pour vous garder du froid.
Maintenant le plancher du paradis est mis, ses étoiles du rougeoiement le plus brillant.
Ils brillent pour vous, il brillent pour vous.
Ils brulent pour que tous le monde puisse voir.
Entré dans ces bras à nouveau et libérer cet esprit.
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